Desjardins
Cartulaire de Conques

Introduction

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Particularités notables.

Etat social. — Si l’on compare l’état social résultant de l’examen des chartes du cartulaire de Conques à celui qui est /xxv/ décrit dans l’introduction au cartulaire de Saint-Père de Chartres, on ne constate pas de différences appréciables. Au ixe siècle, le pouvoir central est représenté dans le Rouergue par un officier qui a le titre de comte. L’état a un domaine que le comte administre. Nous voyons celui-ci disposer en faveur de l’abbaye du terrain, appartenant au fisc, sur lequel les moines élevèrent leurs premiers bâtiments1. — Le comté était divisé en un grand nombre de circonscriptions à la tête desquelles était placé un vicaire qui rendait la justice entouré des hommes les plus considérables de la région, boni homines2. — Dans les contrats, on invoque la loi romaine3 et l’on paraît compter sur une autorité publique pour les faire exécuter. Cependant la sécurité n’est pas fort assurée: une charte de 801 contient la donation d’un donjon servant de refuge contra gents nefandas, dit le texte4. — Outre ces représentants locaux, nous savons que le souverain donnait des commissions extraordinaires à de grands personnages. Un acte de 823 montre l’un de ces missi dominici, exerçant au nom de l’empereur les fonctions d’arbitre entre l’abbaye de Conques et le chapitre de N.-D. de Laon qui possédait des terres en Auvergne, provenant probablement du partage des contrées du midi fait entre les Francs mérovingiens, et tenues à titre de bénéfice par Bertrand, avoué de N.-D. de Laon5. — Si nous passons à la condition des personnes, nous trouvons des hommes libres, des esclaves qui se divisent en serfs de corps et serfs de la glèbe. Le cartulaire mentionne en effet la donation de plusieurs individus avec leur famille et le service qu’ils doivent6, et d’autre part les tenancière qui vivent sur les propriétés sont presque toujours cédés avec elle. —  On remarque des domaines considérables dont le chef-lieu a le titre de villa, avec maison de maître, casa /xxvj/ dominicaria, et toutes les dépendances: pressoir, moulin, etc. La villa se subdivise en manses, tenus par des serfs ou des fermiers1. Les propriétaires de ces domaines sont les seigneurs futurs. Il y a aussi un grand nombre d’hommes libres ayant des possessions moins étendues. Ils ne tarderont pas à échanger leur indépendance contre la protection de plus puissants et à se mettre dans leur garde2.

C’est au temps du roi Robert que cette transformation se consomme. A cette époque, on sent à la rédaction des actes que les contractants ne comptent plus sur une autorité qui fasse respecter leurs stipulations. Ils en sont réduits à menacer de la justice divine ceux qui violeraient le droit3. Le désordre est arrivé à ce point qu’on trafique des abus et injustices. On ne craint pas de mentionner ouvertement dans les ventes ou les donations tortos et malos usus,... quod juste vel injuste habebam vel requirebam4. Les comtes se sont rendus propriétaires de leurs comtés et des revenus qui en dépendent. Les vicaires les imitent. L’un d’eux exerce, au xiie siècle, dans le nord et l’ouest du Rouergue, un pouvoir supérieur à celui des comtes eux-mêmes. C’est le seigneur de Calmont d’Olt, près d’Espalion, dont le château en ruines domine encore la vallée du Lot5. Il n’est plus question alors de vigueries que pour régler les redevances dues à ceux qui se sont partagé les dépouilles de ces anciennes juridictions6.

Cependant les mœurs réagissent avec succès contre le droit du plus fort. Sous leur influence, l’esclavage disparaît, et quand il subsiste, s’adoucit. Le cartulaire contient une charte d’affranchissement de serfs, très-remarquable. Le latin est plein de fautes grossières, il est vrai, mais la barbarie de la forme n’en fait que mieux ressortir la grandeur de l’idée chrétienne7. Pierre et /xxvij/ Gerbert, seigneurs des environs de Clairvaux, non loin de Conques, par des motifs exclusivement empruntés aux préceptes évangèliques, donnent la liberté à Géraud, à sa femme, à ses fils et filles, à ses sœurs Ildegarde et Ingelberge, avec l’entière disposition de leurs biens. L’insertion de cet acte dans le cartulaire dit asses qu’il est dû à l’influence de l’abbaye.

D’un autre côté, les moines ouvrent des refuges aux opprimés de la tyrannie féodale en fondant des bourgs francs dits salvae terrae, salvetats, sauvetés en l’honneur de sainte Foi1.

Monnaie, cens, mesures. — Au ixe et au xe siècle, les monnaies le plus souvent nommées dans les transactions sont d’abord celle de Limoges, puis celle de Rodez; en troisième lieu vient celle du Puy. Plus tard, nous trouvons les sous et deniers de Béziers, Carcassonne, Cahors et Maguelonne. La monnaie de Toulouse porte le nom du comte qui la fit frapper: solidi, denarii Raimondenses2.

Parmi les mesures, une seule est désignée par un nom de localité: la mesure de Villeneuve3.

Les cens à payer sont innombrables. Il n’en est point cependant qui n’aient dejà été signalés et expliqués dans le glossaire de Du Cange. Les termes de paiement ne sont pas moins multipliés. On trouvera rémunération des uns et des autres à la table sous les rubriques: Droits divers et Termes de paiement.

Régime intérieur de l’abbaye. — Le cartulaire ne donne qu’une idée incomplète de la constitution intérieure du monastère de Conques. Les dignités et charges désignées dans les titres sont celles de: abbé, prévôt, doyen, sacristain, gardien de l’église, cellerier, préposé au vestiaire et au mobilier, portier de l’abbaye, portier des pauvres4. → Essai sur le cartulaire de l’abbaye de Sainte-Foi de Conques en Rouergue Une pancarte, rédigée au xviesiècle, mentionne de plus l’ouvrier.

/xxviij/

Il n’est pas possible d’établir la liste complète des prieurés dépendant de Conques. Le cartulaire s’arrête au xiie siècle et ne les contient, par conséquent, pas tous; et d’un autre côté, lorsque la pancarte dont je viens de parler fut dressée, plusieurs des églises que l’abbaye possédait étaient dejà ou détruites ou passées en d’autres mains. Dans l’état des domaines, j’ai noté tous les prieurés dont l’indication se trouve soit dans le cartulaire, soit dans les copies de la collection Doat, soit dans la pancarte1.

Il ne paraît pas que des laïques se soient jamais ingérés dans le gouvernement du monastère de Conques. On ne peut signaler qu’une irrégularité, au xe siècle, irrégularité qui dura, il est vrai, plus de cinquante ans. L’abbé Etienne, fils de Robert, vicomte d’Auvergne, devient évêque de Clermont, vers 937, sans cesser d’être abbé2. Il s’adjoint un abbé secundum regulam, Hugues, qui réside dans le couvent et l’administre. Vers 958, paraît, à côté de ces deux abbés, un troisième personnage nommé Bégon qui, à partir de 961, prend le titre d’évêque et figure sur les dyptiques du diocèse de Clermont. Etienne, Bégon et Hugues sont nommés ensemble dans les chartes jusqu’en 984. Etienne et Hugues disparaissent à cette époque. Quant à Bégon, il continue à gouverner deloin le monastère, avec un coadjuteur, jusqu’en 1010.

Justice de l’abbé. — Dès la fin du xe siècle, on constate l’existence d’une justice de l’abbé que celui-ci exerce devant la porte de l’église de Conques, avec le concours d’assesseurs qualifiés de boni homines3.

Privilèges de l’abbaye. — Pépin d’Aquitaine exempta l’abbaye de la juridiction des comtes de Rouergue4. Les papes la rendirent de même indépendante de l’évêque de Rodez, et la prirent sous leur protection spéciale. Cette dernière faveur ne fu /xxix/ pas sans inconvénients pour le monastère, qui se vit fréquemment enlever ses meilleurs prieurés par décision pontificale, pour des cardinaux et autres personnages de la cour romaine1. L’abus devint tel que les moines durent demander à Innocent IV un bref, qui leur donnât le droit de refuser les pensionnaires, imposés même par l’autorité apostolique ou par celle des légats, à moins d’un ordre exprès et spécial du pape2.

Menses abbatiale et conventuelle. — On ne saurait dire si, dès les premiers temps, il existait une distinction entre la mense de l’abbé et la mense conventuelle. Quelques donations anciennes ne portent, il est vrai, que le nom de l’abbé. Cependant il ne paraît pas douteux qu’il figurait alors comme représentant de toute la maison. Au xiie siècle, on trouve un rôle de la mense conventuelle, communia monachorum3. Une bulle de 1243 spécifie les biens qui devront entretenir: le cellier, la paneterie, l’ouvrerie ou fabrique, l’ameublement, l’infirmerie, la maison des hôtes, les anniversaires et jusqu’à l’office de la barbe et de la tonsure4. Au xiiie siècle, la mense abbatiale fut constituée ou augmentée par diverses bulles citées plus loin dans l’état des domaines.

Souvent les donateurs affectaient eux-mêmes leur offrande à une destination marquée: vestiaire, luminaire, sacrifice de la messe, sacristie, etc.

Règle de saint Benoit. — La règle de saint Benoît n’était pas observée à Conques dans toute sa rigueur. On constate des exceptions nombreuses au vœu de pauvreté. Il est souvent convenu dans les actes que telle propriété, donnée au monastère, demeurera entre les mains d’un moine désigné, qui en touchera les revenus5; quelquefois on ajoute qu’il pourra transmettre cet /xxx/ usufruit à un successeur choisi par lui1. Des parents, dont les fils entrent au monastère, stipulent, en versant la dot du novice, qu’il sera convenablement entretenu de tout et aura même une bonne mule2.

L’usage de donner l’habit monacal sur le lit de mort aux hommes et aux femmes, ainsi que la sépulture dans le cimetière de l’abbaye, est rappelé dans un grand nombre de contrats.

Enfants donnés. — Il est question aussi d’enfants donnés au monastère, avec l’intention d’en faire des moines3, quelquefois seulement pour les élever et les instruire4. L’un de ces enfants, Pierre d’Audouque5, joua un rôle important dans les événements qui se produisirent en Navarre et en Languedoc, à la fin du xie siècle et au commencement du xiie. Nommé évêque de Pampelune, il exerça une grande influence à la cour des rois de Navarre et d’Aragon6. Il assista aux conciles qui se tinrent, à cette époque, dans le midi de la France, notamment à Toulouse, où il périt dans une sédition, en 11147. Si l’on en croit une notice contemporaine de sa mort, à laquelle sont joints des vers, assez difficiles à comprendre par suite d’une transcription inintelligente8, c’était un prélat lettré. Il donna ou fit donner à l’abbaye de Conques plusieurs prieurés en Navarre.

Eglises. — Les églises paraissent avoir été la propriété de ceux qui les faisaient bâtir sur leur terrain. Ils en touchaient les revenus et entretenaient le prêtre chargé de les desservir. C’est ce qui résulte de l’abandon, fait à l’abbaye par les donateurs, des droits sur le baptême, les pénitences, la sépulture, les offrandes de l’autel, etc.9 De là découlent les droits de patronage et /xxxj/ autres exercés par les seigneurs. Au xie siècle, les biens affectés à la dotation de réglise prennent le nom de fief: fevum ecclesiasticumà, fevum presbyterale.

Un acte curieux nous montre un prêtre du diocèse d’Albi achetant une église, afin de vivre de ses revenus, et se mettant avec elle dans la juridiction de l’abbaye1.

Pèlerinages. — On a vu plus haut le tableau des progrès du pèlerinage de Sainte-Foi. Ce n’est pas le seul dont il soit parlé dans le cartulaire. Il y est souvent question de voyages au tombeau des Apôtres et en Terre-Sainte. Roc Amadour est également mentionné. Un récit de 10602 nous représente le fils d’Harold, roi d’Angleterre, allant de sanctuaire en sanctuaire dans le monde entier. A partir de la fin du xie siècle, on note un grand nombre d’emprunts faits sur gages auxquels les dépenses nécessitées par les croisades ne sont sans doute pas étrangères3.

Dévotion à saint Pierre — Le culte de saint Pierre avait précédé à Conques celui de sainte Foi et se perpétua après la translation des reliques de la martyre d’Agen. Le côté droit de l’église était dédié au prince des apôtres4. Des donations sont faites pour l’entretien d’un luminaire perpétuel devant son autel et la célébration de messes quotidiennes en son honneur5.

Bulle de Pascal II — Une bulle de Pascal II (1009 à 1110), reproduite par les Bollandistes6, accorde aux moines l’autorisation de nommer sainte Foi au canon de la messe. Il est certain que Pascal a donné à l’abbaye de Conques des témoignages d’une bienveillance toute spéciale. Sur le socle d’un bas-relief, formé de débris de plusieurs pièces d’orfèvrerie, on lit un fragment /xxxij/ d’inscription qui prouve que le trésor lui était redevable de reliques insignes. Malgré cela, cette bulle me paraît suspecte. Sa teneur, j’en conviens, ne s’écarte pas des formules des petites bulles de Pascal II; il n’y manque que l’année de l’indiction. Mais, dans un procès du xviesiècle, les moines ont présenté comme l’original de ce document une grossière contrefaçon, dont la fausseté saute aux yeux les moins exercés. Ils y ont joint une copie, homologuée au parlement de Toulouse, de ce même original supposé, que le greffier a pris pour l’acte authentique. Et qu’on ne dise pas qu’ils ont fait cette production fallacieuse pour ne pas s’exposer à perdre le vrai titre, car je répondrais qu’ils n’ont pas craint de se dessaisir d’une → Corrections grande bulle d’Urbain II, qui n’avait pas moins d’importance pour le soutien de leurs privilèges1. — Sincère ou fausse, la décision de Pascal II ressortit son double effet dans le cours des siècles; les Bollandistes citent un grand nombre de missels, peu anciens à la vérité, de divers diocèses, dans lesquels le canon de la messe porte le nom de sainte Foi2.

Chartes romanes — Le cartulaire contient plusieurs châties en langue d’oc3. Je signalerai parmi elles un certain nombre de pièces plus anciennes dont le texte en latin barbare, mêlé d’expressions romanes, est curieux4.

L’église abbatiale de Conques, type du style roman languedocien — Dans le remarquable cours d’archéologie qu’il professe à l’École des Chartes, M. Quicherat constate que du style auvergnat, caractérisé par une voûte centrale en berceau, contreboutée par les voûtes des bas-côtés à la hauteur de la nef du milieu, est dérivé le style languedocien. Dans cette seconde branche, le bas-côté est divisé en deux étages: une nef et au-dessus une tribune dont la voûte sert de soutien au vaisseau /xxxiij/ principal. M. Quicherat cite, parmi les monuments les plus complets de cette école d’architecture romane, Sainte-Foi de Conques et Saint-Sernin de Toulouse.

L’abbaye de Conques, bâtie sur les confins de l’Auvergne où elle possédait de nombreuses terres, a été, au xe siècle, administrée par des évêques de Clermont. En partie peuplée de moines originaires de cette province, il est très-naturel de supposer qu’elle aura subi l’influence des idées et des goûts qui y avaient cours. L’église de Conques a donc pu être construite par un architecte auvergnat qui, faisant faire à l’art roman un pas considérable, a produit dans cet édifice un type nouveau.

Mais, objectera-t-on, n’est-ce point Saint-Sernin de Toulouse qui a servi de modèle à Sainte-Foi de Conques? C’est une question de dates. Urbain II, en 1095, consacra l’église, encore inachevée de Saint-Sernin, qui avait été commencée vers 10601. D’après le chronographe de l’abbaye rouergate, celle de Conques était à peu près terminée, au moment où l’on posait la première pierre de Saint-Sernin. Odolricus... basilicam ex maxima parte consummavit..., corpus beatæ Fidis de veteri ecclesia in novam basilicam transtulit, ac etiam monasterium in ea forma in qua est ad honorem Dei et beatæ Fidis fecisse creditur, tempore Henrici, Francorum [regis]... Odolric, est cité pour la dernière fois dans une pièce de 1065. J’ai démontré plus haut que l’auteur anonyme écrivait à la fin du xie siècle. On ne saurait lui refuser créance, quand il parle d’événements récents qu’il a vus ou appris de témoins oculaires, surtout si l’abbaye de Figeac n’est pas en question. Il ajoute que Bégon III, qui gouvernait Conques au moment où il composait sa chronique, a fait bâtir le cloître qui s’appuyait sur le bas-côté méridional de la nef. C’est une preuve de plus que l’église était alors achevée. Le cloître est détruit et il n’en reste que quelques débris recueillis par le curé; il abritait le tombeau de son /xxxiv/ fondateur, demeuré intact contre le mur de l’église, avec une inscription qu’on lira plus bas.

La comparaison de Sainte-Foi et de Saint-Sernin fait ressortir dans le monument de Toulouse une hardiesse, un ensemble, une sûreté d’exécution qu’on est loin de trouver dans celui de Conques. Ce dernier, parmi des beautés de premier ordre, porte la trace de quelques gaucheries, qui trahissent des tâtonnements et une certaine inexpérience. Saint-Sernin, c’est Sainte-Foi perfectionné.

Au xie siècle, les relations entre Conques et le pays toulousain étaient devenues fréquentes. Durand, évêque de Toulouse, et son successeur Isarn firent à l’abbaye d’importantes donations. Le cartulaire nous montre les moines bâtissant, dans les lieux où ils vont s’établir, des églises, des couvents, des bourgs de sauveté, des ports, etc.1. Un document nous a conservé les noms de trois de ces moines architectes: Amancius donne deux manses dans le Bazadois à condition que Deusdet, moine, ou Pierre, ou Odolric y construira une église en l’honneur de sainte Foi2. Ainsi le culte de cette sainte a porté avec lui le style né à Conques dans les contrées où il s’est propagé, et nous saisissons sur le fait la formation et le développement d’un mode d’architecture romane, très-répandu dans le midi de la France. M. Viollet Le Duc l’a retrouvé en Navarre où, d’après le cartulaire, les moines de Conques firent de nombreuses constructions. A ce titre, l’église de Sainte-Foi, fort intéressante dejà en elle-même, mériterait l’honneur d’une monographie détaillée.

[Note a pag. xxv]

1. Cartrulaire, no 581. Torna al testo ↑

2. Nos 155, 293. Torna al testo ↑

3. No 1. Torna al testo ↑

4. Ibid. Torna al testo ↑

5. No 460. Torna al testo ↑

6. Nos 16, 536, 539, 550. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxvj]

1. → Corrections No 460. Le nom de colon ne se trouve pas dans le cartulaire. Torna al testo ↑

2. Nos 147, 194, 440. Torna al testo ↑

3. Voir à la table le mot Excommunication. Torna al testo ↑

4. Nos 20, 43, 204, 394. Torna al testo ↑

5. Gall. christ., t. I, Instr. p. 52 et 44. Torna al testo ↑

6. Voir à la table les mots: Vigueries féodales. Torna al testo ↑

7. N.o 85. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxvij]

1. Nos 61, 75, 76, 481, 498, 538, 544, 547. Torna al testo ↑

2. Voir à la table le mot Monnaies. Torna al testo ↑

3. Idem, Mesures. Torna al testo ↑

4. Nos 177 et 306. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxviij]

1. Voir plus bas, p. XLVI. Torna al testo ↑

2. Gallia christiana. T. II. Diocèse de Clermont. Voyez aussi dans l’index chronologique à la fin de ce volume les chartes comprises entre les numéros d’ordre 51 et 183. Torna al testo ↑

3. Nos 175, 193. Torna al testo ↑

4. No 581. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxix]

1. No 558, et Doat 144, fos 84 et 271. Torna al testo ↑

2. Doat 244, fo 25. Torna al testo ↑

3. No 478. Torna al testo ↑

4. Doat 144, fo 20. Torna al testo ↑

5. Entre autres no 107. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxx]

1. No 246. Torna al testo ↑

2. Nos 31, 569, et Doat 143, fo 287. Torna al testo ↑

3. Nos 287, 492, 511, 569, et Doat 143, fo 257. Torna al testo ↑

4. No 500. Torna al testo ↑

5. No 482. Torna al testo ↑

6. Voyez plus haut, p. XV. Torna al testo ↑

7. Dom Vaissète. Hist. du Languedoc, t. II, p. 636. Torna al testo ↑

8. Doat 143, fo 177. Torna al testo ↑

9. Voir cet mots à la table. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxxj]

1. No 57. Torna al testo ↑

2. No 15. Torna al testo ↑

3. Voyez à la table le mot Pignus. Torna al testo ↑

4. D’après le Livre des Miracles, la nef principale était consacrée an Saint-Sauveur et le côté gauche à Notre-Dame. Les reliques de sainte Foi étaient exposées au milieu du choeur. Torna al testo ↑

5. No 91, entre autres. Voyez à la table le mot S. Petrus Torna al testo ↑

6. Acta Sanct. Octob. T. III, p. 282. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxxij]

1. Archives de l’Aveyron. Evéché de Rodez. Torna al testo ↑

2. No 570, même fonds. Torna al testo ↑

3. Nos 531, 546, 566, 573, etc. Torna al testo ↑

4. Nos 501, 563, etc. On relève un mot roman dans une pièce de 801: decurrit deves Andate, no 1. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxxiij]

1. 1. Hist. du Lang., t. II, p. 175 et 265. Torna al testo ↑

[Note a pag. xxxiv]

1. Voir ces mots à la table. Torna al testo ↑

2. No 50. Torna al testo ↑